Donner la vie, c’est faire un acte sacré.
Guider la vie, aider à la faire émerger n’est jamais anodin. J’ai toujours été reliée à ce grand mystère de la vie et de la mort. Non seulement bien sûr en tant que mère mais également dans ma pratique professionnelle.
Il est en effet difficile de ne pas s’interroger ou remettre en cause ses certitudes ou ses peurs lorsqu’on est au coeur du miracle de la vie.
C’est la raison pour laquelle, j’ai toujours cheminé tant personnellement que professionnellement avec l’envie d’en comprendre le sens profond.
Les petits et grands bonheurs, les épreuves et les accidents m’ont façonnée tout autant que mon éducation mais il a fallu un événement tout particulier qui, en me remettant en cause, m’a permis de relier les fils de ma vie. Cela m’a ouvert sur un nouveau monde ou du moins sur une vision du monde moins manichéiste et a renforcé mon envie de trouver des réponses probantes. Je suis devenue davantage curieuse de la vie, avide de formations… j’avais soif d’apprendre.
Au fil de mes recherches et études et de mon propre parcours thérapeutique, j’ai compris que tout était relié et avait un sens. Non seulement, ma fonction d’accompagnatrice en périnatalité et en parentalité mais également celle de thérapeute. Comme d’autres, j’ai eu le sentiment qu’en réalité, nos enfants, ces enfants sont là pour nous faire grandir, nous, non seulement en tant que parent mais en tant qu’humain.
Mon ressenti est que tout prend une signification dès que nous sommes dans le giron maternel et même quelques mois auparavant à la conception. Et toute notre vie pourrait dépendre de nos propres choix, si nous le décidions.
C’est ainsi que j’ai obtenu le diplôme de Doula avec « Maternité Sacrée » et QUANTIK MAMA pour rejoindre ce puissant courant spirituel.
Ce n’est que mon opinion et si elle me guide, je n’en reste pas moins ouverte à l’évolution de vie de chacun et de ceux qui viendront me (tele)consulter.
Mais j’ai néanmoins une certitude : si vous venez à ma rencontre, un jour dans mon cabinet, c’est que nos routes devaient se croiser.